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LAISSEZ MOI ËTRE CE QUE JE SUIS

JE NE CHANGERAI PAS

JE NE SUIS PAS PARFAITE

MAIS JE SUIS COMME JE SUIS

ET JE LE RESTERAI

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Date de création : 16.06.2012
Dernière mise à jour : 11.09.2025
5288 articles


Petite pensée

Vous serez toujours comblée, si vous savez apprécier les petites choses de la vie.....Comme je le fais...

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POEMES

ON NE SERA JAMAIS TROP VIEUX/MERCI MICHEL JONASZ

Publié le 16/08/2024 à 13:21 par latanierededilou
ON NE SERA JAMAIS TROP VIEUX/MERCI MICHEL JONASZ
ON NE SERA JAMAIS TROP VIEUX
de la CHANSON "LA MAISON DE RETRAITE"
J’ai retrouvé ta lettre où tu disais peut-être
Un jour on s'ra trop vieux
Pour s'écrire des poèmes
Pour se dire que l'on s'aime
Se r' garder dans les yeux
Tu parlais de naufrage,
D'un corps qui n'a plus d'âge
Et qui s'en va doucement
De la peur de vieillir et d'avoir à subir
L'impertinence du temps
De n' plus pouvoir s'aimer si la mémoire s'en va
Et qu'on n' se reconnaît plus
Et perdre me disais-tu le plaisir de me plaire
L' envie de me séduire
Peur de la dépendance
Et de finir sa vie dans une maison de retraite
De la fin qui commence
De l'esprit qui divague
Peur de ne plus pouvoir un jour
Rire à mes blagues
Mais tout ça c'est des bêtises est-ce que tu réalises
On s' ra jamais trop vieux
Pour s'écrire des poèmes, pour se dire que I’on s'aime
Se r' garder dans les yeux
Et je veillerai sur toi et tu veilleras sur moi
Ce s' ra jamais fini
On s' dira mon amour jusqu'à la fin des jours
Et le jour et la nuit
Et le jour et la nuit
Et leur maison de retraite ça j’ te jure sur ma tête
Nous on ira jamais
On dormira dehors, on r' gardera les étoiles
On vivra libres et dignes !
On s' tiendra par la main comme à nos 18 ans
Qu’on marchait tous les deux sur des sentiers perdus
Au début du printemps
Et on pourra toujours raconter des bêtises
Et dire n'importe quoi
On vivra libres et dignes !
Et si l'on doit partir un jour après le dernier mot
Du tout dernier poème
On partira ensemble
Tu comprends...
On s' ra jamais trop vieux
Pour se dire que l'on s'aime
Se r' garder dans les yeux
On s' ra jamais trop vieux
Pour se dire que l'on s'aime
Se r' garder dans les yeux
Michel Jonasz.
 
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PRIERE AMERINDIENNE/PENSEES POUR TOI DANS LES ETOILES

Publié le 15/06/2024 à 11:21 par latanierededilou
 

 

Si je suis le premier à décéder.
Que le deuil n'obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahi par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !
Prière attribuée aux Amérindiens.
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SG_ODILE
Le paradis blanc.


SIMPLEMENT MOI/CES BLESSURES QUI NE SE VOIENT PAS...

Publié le 28/03/2023 à 18:53 par latanierededilou
SIMPLEMENT MOI/CES BLESSURES QUI NE SE VOIENT PAS...

 

les blessures qui ne se voient pas
Y'a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
On joue le rôle de celui pour qui tout va bien
Pourvu que les autres n'en sachent rien
On fait au mieux pour sauver la face
Pour que notre entourage ignore par où l'on passe
On rit, on danse, on fait les fous
Comme à Venise, mais quoi qu'on fasse
Mais quoi qu'on dise
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferment au fond de soi
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
L’orgueil nous aide à tenir le coup
Apparemment on pourrait même faire des jaloux
C'est à nous même que l'on se joue
La comédie pour s'inventer qu'on est guéri
Les blessures qui ne se voient pas
Me font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferment au fond de soi
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
Et ces blessures la
Qui ne se voient pas
Y'a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir
Les blessures qui ne se voient pas
Parfois elles semblent avoir perdu nos traces
Et quand on ne s'y attend pas
Et sans que jamais les autres le sachent
Elles remontent à la surface
Et nous fusillent une fois encore
Les blessures qui ne se voient pas
Qui nous font mal
Bien plus que toutes les autres
Ces blessures là qui ne se voient pas
 
SIMPLEMENT MOI
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merci pour le partage
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LES LARMES DE LA TERRE/POEME D'ERIC SPANO

Publié le 26/09/2019 à 15:03 par latanierededilou
LES LARMES DE LA TERRE/POEME D'ERIC SPANO

MERCI ERIC SPANO

 

LES LARMES DE LA TERRE
© Eric SPANO

Les larmes de la terre
Se noient dans l'océan ;
Voyez ! C'est notre mère,
Qui pleure ses enfants.

Ils sont devenus fous,
Ils font couler le sang ;
Sans vergogne, ils bafouent
Leurs frères innocents.

Et j'ai vu les rivières
Charrier son chagrin,
Et ses vaines prières
Se briser au matin.

Ainsi martyrisée
Par la chair de sa chair,
Elle tourne, brisée
Par la haine ordinaire.

Pourquoi la souillent-ils,
Au lieu de la chérir ?
Pourquoi se battent-ils,
Au lieu de s'accomplir ?

Mais quel est donc ce mal
Qui ronge ses enfants ?
Ces chevaliers du Graal
Qui ont reçu, pourtant,
Le génie des étoiles,
La force des océans.

L'Univers tout entier,
D'un Amour infini,
S'est un jour divisé
Pour leur donner la vie.

Si seulement ils pouvaient
Regarder dans leur cœur,
Alors, ils y verraient
La plus belle Lueur...

 



EN PENSANT A MA MAMAN/LE REPAS PREPARE.Albert SAMAIN

Publié le 09/09/2019 à 16:19 par latanierededilou

JE DORS PEU ET CETTE NUIT JE PENSAIS A CE POEME

MAMAN LE CONNAISAIT PAR COEUR ET ME L'AVAIT APPRIS

PARMI TANT D'AUTRES

LE REPAS PREPARE

Le Repas préparé

Albert SAMAIN
Recueil : "Aux flancs du vase"

Ma fille, laisse là ton aiguille et ta laine ;
Le maître va rentrer ; sur la table de chêne
Avec la nappe neuve aux plis étincelants
Mets la faïence claire et les verres brillants.
Dans la coupe arrondie à l’anse en col de cygne
Pose les fruits choisis sur des feuilles de vigne :
Les pêches que recouvre un velours vierge encor,
Et les lourds raisins bleus mêlés aux raisins d’or.

Que le pain bien coupé remplisse les corbeilles,
Et puis ferme la porte et chasse les abeilles…
Dehors le soleil brûle, et la muraille cuit.
Rapprochons les volets, faisons presque la nuit,
Afin qu’ainsi la salle, aux ténèbres plongée,
S’embaume toute aux fruits dont la table est chargée.
Maintenant, va puiser l’eau fraîche dans la cour ;
Et veille que surtout la cruche, à ton retour,
Garde longtemps glacée et lentement fondue,
Une vapeur légère à ses flancs suspendue.

Portrait de Albert SAMAIN

Albert Samain, né à Lille le 3 avril 1858, mort à Magny-les-Hameaux le 18 août 1900, est un poète symboliste français.

Son père étant décédé alors qu’il n’avait que 14 ans, il dut interrompre ses études pour gagner sa vie et devint employé de commerce. Vers 1880, il fut envoyé à Paris, où il décida de rester. Il trouva un emploi de commis à l’Hôtel de ville, et fut bientôt rejoint par sa famille.

Depuis longtemps attiré par la poésie, il commença à fréquenter les cercles à la mode, tels que les Hirsutes et les Hydropathes, et commença à réciter ses poèmes aux soirées du « Chat noir ». Il participa à un cercle littéraire qui réunissait quelques amis (dont Antony Mars, Alfred Valette et Victor Forbin) dans une arrière boutique de la rue Monsieur-le-Prince.

Au début des années 1890, fortement influencé par Baudelaire, il évolua vers une poésie plus élégiaque. En 1893, la publication du recueil « Au jardin de l’Infante » lui valut un succès immédiat. La perfection de la forme alliée à une veine mélancolique et recueillie caractérise un art d’une sensibilité extrême. Les poésies de Samain furent réimprimées un nombre considérable de fois jusque dans les années 1930. De nombreux musiciens composèrent des mélodies sur ses textes, parmi lesquelles plusieurs chefs d’oeuvre (citons « Arpège » de Gabriel Fauré). Il collabora notamment au « Mercure de France », à la fondation duquel il avait participé, et à « La Revue des Deux Mondes ».

Du point de vue des formes poétiques, un de ses apports majeurs fut l’invention d’un genre de sonnet à quinze vers.

Miné par la phtisie, il mourut après seulement quelques années de production littéraire.


Source : Wikipédia
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UN JOUR...PEUT-ÊTRE...POEME D'ERIC SPANO.

Publié le 05/09/2019 à 10:03 par latanierededilou
UN JOUR...PEUT-ÊTRE...POEME D'ERIC SPANO.

MERCI ERIC SPANO

UN JOUR, PEUT-ETRE…
© Eric SPANO

Voyez ces gens au dos courbé,
Qui marchent seuls et ne rient plus,
Pleins de remords et de regrets
D’avoir toujours trop attendu.

Chaque matin devant leur glace,
Ils n’osent plus se regarder ;
Témoin cruel du temps qui passe,
Ils ont si peur de leur reflet.

Si seulement toutes ces rides
Etaient les fruits de la passion ;
Si seulement des yeux humides
Avaient abreuvé leurs sillons.

Tout ce qu’on dit quand on se ment,
Ils l’ont trop longtemps murmuré :
« Un jour peut-être, un jour sûrement,
J’aurai la force et j’oserai... »

Et dans leur coeur devenu sage,
Résonne alors le vieil adage :
« À ne pas vouloir quand on peut,
On ne peut plus quand on le veut »...



POEME D'ERIC SPANO SUR LA DESTRUCTON DE LA FORET AMAZONIENNE

Publié le 28/08/2019 à 14:31 par latanierededilou
POEME D'ERIC SPANO SUR LA DESTRUCTON DE LA FORET AMAZONIENNE

 

A l'heure où la forêt Amazonienne brûle, où les désastres écologiques s'accumulent, où l'humanité, dans son ensemble, ne semble pas mesurer l'ampleur du problème, je voulais publier à nouveau ce petit poème...
-------------------------------------------
L’ARGENT NE SE MANGE PAS
©2019 Eric SPANO

Quand il n’y aura plus d’animaux,
Plus rien qui pousse dans les bois ;
Quand le plus grand de tous tes maux
Sera de savoir comme on boit ;

Quand les hommes n’auront de cesse
Que de vouloir sauver leur peau,
Que vaudront toutes tes richesses
Devant un simple verre d’eau ?

À quoi servira ta fortune,
Quand tout aura été détruit,
Que la terre deviendra lune
Et s’enfoncera dans la nuit ?

Quand la faim creusera ta peau,
Avant de passer à trépas,
Tu t’apercevras, pas de pot,
Que l’argent ne se mange pas !

 

 



BONNE SOIREE/POEME DE VICTOR HUGO /MERCI REINETTE

Publié le 28/06/2018 à 19:20 par latanierededilou
BONNE SOIREE/POEME DE VICTOR HUGO /MERCI REINETTE

BONNE SOIREE/MERCI REINETTE



L'AUTRE MOITIE DE TOI/POEME ECRIT ET DIT PAR ERIC SPANO

Publié le 05/06/2018 à 18:55 par latanierededilou

Ajoutée le 28 avr. 2018 Poème écrit et dit par Eric SPANO - Musique : Michel PÉPÉ "Le cœur des Anges" - Vidéo : Extraits de "Final Fantasy 13". Pour en savoir, plus visitez la page FB de l'auteur :https://www.facebook.com/eric.spano.a... ou le site WEB : http://www.ericspano.net



UN BRIN DE MUGUET/POEME D'ERIC SPANO/MERCI.

Publié le 01/05/2018 à 12:18 par latanierededilou
UN BRIN DE MUGUET/POEME D'ERIC SPANO/MERCI.

MERCI A ERIC SPANO POUR CE POEME